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Petit essai de comparaison entre la flore spontanée des pavés de Paris décrite par Joseph Vallot et celle d’aujourd’hui (article par Daniel LE QUÉRÉ)

Le 20 août 2023 l’excursion avait pour thème « Flore du pavé de Paris », intitulé inspiré du titre de la Flore de J. Vallot. Voilà l’occasion de dépouiller cette flore et de la confronter à la flore d’aujourd’hui. Depuis plus de vingt ans je dresse des inventaires de la végétation spontanée des rues de Paris en notant systématiquement l’habitat des plantes (entre pavés, pieds d’arbres, murs, perrés, trottoirs de terre…) ce qui permet une tentative de comparaison entre les listes de la « Flore du pavé de Paris » de J. Vallot et la végétation actuelle.



Dans son ouvrage de 1884 (« Essai sur la Flore du pavé de Paris, limité aux Boulevards extérieurs ou Catalogue des plantes qui croissent spontanément dans les rues et sur les quais. Suivi d’une florule des ruines du Conseil d’État »), J. Vallot présente ses observations de la flore spontanée des rues de Paris. Il limite volontairement ses observations aux plantes qui poussent entre les pavés des rues et des places publiques, sur les quais et perrés de la Seine et des canaux. Il indique également la présence des plantes entre les grilles, au pied des arbres. S’agissant d’une ‘Flore du pavé’ il ne s’intéresse pas aux plantes qui croissent dans les cours et propriétés privées, les squares ou les parcs. Il limite ses recherches, sur le plan géographique, au Paris d’avant 1860 (l’ancien Paris, c’est-à-dire avant les annexions du Second Empire, cf. carte ci-dessous). Il est important de noter qu’il travaille déjà dans un Paris très largement rénové et aéré par les grands travaux du Baron Haussmann, donc pas trop éloigné de la ville d’aujourd’hui. Ce Paris semble pourtant alors bien inhospitalier pour la végétation spontanée si l’on en croit sa description de l’entretien des rues : « Depuis le commencement du siècle Paris a bien changé de face : on n’y trouverait pas un coin qui ne soit pavé, bitumé ou macadamisé. Une armée d’ouvriers, munis de lances d’arrosage et de balayeuses mécaniques, exécutent un nettoyage journalier des rues, et si quelque petite plante se risque à pousser entre deux pavés, des préposés, soucieux de la propreté des voies, s ‘empressent de l’arracher à l’aide d’instruments spéciaux. Les berges des quais même n’échappent pas à ce système régulier de curage ». Pourtant de nombreuses petites plantes s’acharnent à subsister. Heureusement pour la végétation ce zèle dans les pratiques d’entretien est abandonné depuis longtemps.


J. Vallot incorpore dans sa Flore une étude de la végétation des ruines du Conseil d’état, incendié durant la Commune. Le Conseil d’État était installé dans le Palais d’Orsay qui occupait l’emplacement de l’actuelle Gare d’Orsay. Ces ruines et les jardins intérieurs en friches recélaient une flore différente de celle des pavés qui nous intéresse ici, aussi est-elle ignorée dans cette étude.


Enfin J. Vallot, complète son inventaire par une comparaison avec les ouvrages de ses prédécesseurs Cosson & Germain (Flore descriptive et analytique des environs de Paris ou description des plantes qui croissent spontanément dans cette région et de celles qui y sont généralement cultivées, 1845) et Tournefort (Histoire des plantes qui naissent aux environs de Paris, avec leur usage en médecine, 1698). Il dresse la liste des plantes parisiennes citées par ces auteurs, même celles qu’il n’a pas revues, dans les limites du Paris ancien mais aussi celles citées pour la zone extérieure qui s’étend jusqu’aux fortifications.

En noir, limites de l’ancien Paris ou Paris d’avant 1860 considéré par J.Vallot, en rouge limite des onze premiers arrondissements
En noir, limites de l’ancien Paris ou Paris d’avant 1860 considéré par J.Vallot, en rouge limite des onze premiers arrondissements

Qu’en est-il aujourd’hui ?


Les prospections de J. Vallot concernent quelques années jusqu’en 1883. Depuis cette date, la flore a évidemment évolué par les nombreux aménagements des rues, la destruction d’habitats et l’apparition de nouvelles espèces, notamment des invasives. La disparition d’espèces est relativement rapide car une consultation de la Base de Données du CBNBP (Conservatoire Botanique National du Bassin parisien) montre que dès la fin du 19ᵉ siècle, une cinquantaine citées par J. Vallot avaient déjà disparu. Cette perte rapide est probablement due à la poursuite de toutes les transformations dans Paris. Il faut noter que la végétation des rues est toujours instable, même actuellement, et peut varier considérablement d’une année sur l’autre car soumise aux aléas de la fréquentation, des aménagements, des travaux, de la pression de l’entretien et… des épidémies humaines (cf. photo ci-dessous d’un massif de Malva sylvestris avenue de Suffren durant le confinement !).


Les prospections de J. Vallot se concentrent sur une courte période alors que les miennes s’étalent sur plus de vingt ans. Une telle durée permet de mieux cerner la végétation réelle, car moins soumise au hasard des dates de prospection, de la météorologie et des divers évènements affectant les habitats. Elle conduit à un nombre d’espèces très largement supérieur à ce que l’on peut inventorier en une année.


Critères retenus :

  • Quelle zone géographique ? J. Vallot se restreint au Paris ancien. Dans un souci de simplification, et pour éviter un fastidieux inventaire des rues, la zone adoptée pour les comparaisons se limite aux 11 premiers arrondissements (voir carte ci-dessus). Bien que cette zone soit plus petite que le Paris ancien, cette approximation peut être considérée comme acceptable, étant donné la ressemblance de la végétation d’une rue à l’autre en ce qui concerne les plantes les plus communes et malgré la perte de quelques taxons notamment sur les perrés.

  • Quelles espèces retenir ? Seules les espèces indigènes ou naturalisées en Ile de France et bien sûr celles listées par J. Vallot sont considérées.

  • Quels habitats ? Je présente un inventaire restreint aux plantes qui poussent entre les pavés, les fissures du bitume, les murs, les perrés de la Seine et des canaux. L’inventaire complet incorporant la flore des pieds d’arbres est présenté séparément. Vallot évoque la richesse de la flore croissant dans les grilles aux pieds des arbres. Cette flore des pieds d’arbres a subi bien des bouleversements. Dans Paris, récemment et pendant quelques années, de larges carrés de terre, plus ou moins heureusement végétalisés, ont été créés aux pieds des arbres. L’apport de terre a provoqué, à cette époque, l’introduction et le développement d’une flore, assez variée, surprenante par sa vigueur, bien qu’en majeure partie banale, dont très peu subsiste.


La limitation des types d’habitats et de la zone considérée conduit à sous-estimer la flore parisienne. Certaines plantes citées par J. Vallot entre les pavés n’ont été revues que dans d’autres habitats, par exemple sur les larges trottoirs de terre des boulevards et avenues. D’autres ont été notées dans les arrondissements périphériques ou dans les Bois de Vincennes ou de Boulogne. A titre de comparaison les chiffres de la flore parisienne totale, y compris les Bois, sont affichés.


Les comparaisons en quelques chiffres


Dans les limites de l’ancien Paris. J. Vallot a personnellement noté 209 espèces, il ajoute 92 (90 d’après mes décomptes du tableau 1) espèces supplémentaires citées par Tournefort ou Cosson & Germain mais qu’il n’a pas revues. Enfin 59 espèces supplémentaires, croissant au-delà du Paris de 1860 mentionnées par ces mêmes auteurs, sont présentées. Cela conduit donc à une population potentielle pour l’ancien Paris de 299 (ou 301 espèces). Dans les limites des onze arrondissements j’ai retrouvé 161 des espèces citées par Vallot (pour un inventaire total de 392 espèces), hors pieds d’arbres et 184 espèces (pour un inventaire total de 463) en ajoutant celles vues aux pieds des arbres.


Le Tableau 1 résume ces chiffres. Si le nombre d’espèces tel qu’il ressort de mes observations est nettement plus élevé que ce que présente J. Vallot, on ne peut pas en conclure que la flore de Paris s’est enrichie car elle a beaucoup évolué. De plus, comme signalé précédemment on compare une vingtaine d’années de relevés avec probablement une seule (ou quelques ?) , année(s) d’observations, ce qui introduit un sérieux biais. Il faut noter que de très nombreuses observations ont un caractère anecdotique, la plante n’ayant été vue dans un tel habitat, qui n’est pas le sien, qu’une ou deux fois. Afin de relativiser ces chiffres et à titre d’illustration en 2018, pour les mêmes habitats et dans la limite des onze arrondissements j’avais noté 221 espèces et 238 durant l’année 2022, voilà qui réconcilie avec les 209 de J. Vallot ! De plus, sur une période de vingt ans certaines espèces notées ont déjà disparu. La flore a beaucoup évolué et nous en donnerons un aperçu ci-dessous.



Tableau 1 – Comparaison espèces citées par J. Vallot et inventaires 2003 – 2023

Nombre d’espèces citées par J. Vallot

Mes

inventaires

2003 ‐

‐ 2023


Espèces citées

par J. Vallot revues

Total des

inventaires


Entre pavés

Avec pieds d’arbres

Entre pavés

Avec pieds d’arbre

Paris ancien : 299

161

184

392

463

Tout Paris : 358


280

542

607


Comparaisons des inventaires


Le tableau 2, en annexe, énumère toutes les espèces citées par J. Vallot et leur présence éventuelle dans la flore actuelle :

Les trois premières colonnes correspondent au dépouillement de la flore de J. Vallot. :

  • La première colonne liste les plantes notées par J. Vallot dans le Paris ancien.

  • La deuxième colonne présente la liste des plantes non revues par J. Vallot dans ce même périmètre.

  • La troisième colonne liste les plantes citées par Tournefort et Cosson & Germain hors périmètre du Paris ancien.

La quatrième colonne rappelle les noms des espèces selon la nomenclature actuelle. Les nostalgiques des flores de Bonnier et de Coste retrouveront dans ces trois premières colonnes des souvenirs et l‘ordre des familles à l’époque.

Les trois colonnes suivantes présentent la comparaison avec mes inventaires :

  • La cinquième colonne présente l’inventaire réduit aux seules espèces notées entre les pavés dans les limites des onze premiers arrondissements ;

  • La sixième colonne présente le même inventaire incorporant les espèces notées au pied des arbres dans les mêmes limites ;

  • La septième colonne présente l’inventaire pour Paris dans sa totalité, y compris les Bois de Vincennes et de Boulogne.

Enfin la dernière colonne présente des informations issues de la Base de Données du Conservatoire Botanique National du Bassin parisien : date de dernière mention (observation ou dépouillement de la littérature) et détail intéressant, les plantes citées par Vallot, pour lesquelles aucune mention dans Paris n’a été enregistrée.


Ce tableau montre que 184 espèces ont été revues récemment dans les limites des 11 arrondissements mais il convient de s’interroger sur l’origine de certaines. Comme signalé précédemment, les nombreux aménagements perturbent et modifient la flore. Une partie de ces 184 espèces a manifestement une origine anthropique. Certaines espèces sont échappées de plantations telles que : Echinops sphaerocephalus, Cyanus segetum, Campanula pyramidalis, Salvia sclarea, Convallaria majalis, Trifolium resupinatum, Lathyrus nissolia…. D’autres proviennent de graines jetées négligemment ou dispersées non intentionnellement telles que : Camelina sativa, Solanum lycopersicum (particulièrement fréquent), Fagopyrum esculentum, Panicum miliaceum, Secale cereale, Vicia lens, Avena sativa… D’autres ont été introduites involontairement lors des apports de terre au pied des arbres ou pour réaliser des parterres telles que : Calepina irregularis, Atocion armeria, Ornithopus perpusillus, Samolus valerandi, Spergula arvensis, Scandix pecten-veneris… Enfin Oenanthe aquatica provient de brins arrachés dans un canal et restés piégés dans le bassin de La Villette. Peu de ces plantes deviennent plus ou moins pérennes mais apparaissent sporadiquement. La même question de l’origine se pose pour certaines des observations de J. Vallot telles que Avena sativa, Campanula pyramidalis, Vicia lens, Isatis tinctoria, Solanum lycopersicum


Un rapprochement des chiffres, entre mes inventaires et les listes de J. Vallot, montre un déficit de plus d’une centaine d’espèces par rapport à la liste de J. Vallot pour les espèces qu’il a vues ou non revues dans l’Ancien Paris. Ceci démontre non pas une perte de diversité mais une évolution de la flore. Les commentaires en septième colonne, principalement extraits de la base de données du CBNBP, indiquant des dates approximatives de dernière observation, illustrent cette évolution. En effet, à l’échelle du tout Paris et dans les mêmes conditions écologiques, j’ai observé 542 espèces contre 358. Cette importante différence, positive cette fois, peut s’interpréter par le fait que les arrondissements centraux de Paris sont les plus pauvres en nombre d’espèces et que les flores de Tournefort et Cosson & Germain ne traitent pas spécifiquement de la flore de Paris.


Quelques commentaires sur l’évolution de la flore parisienne


Le tableau 3, en annexe, présente la liste des 463 espèces récemment notées dans la limite des onze premiers arrondissements entre pavés et aux pieds des arbres. Les espèces sont ordonnées par ordre de fréquence (nombre total d’observations sur la période considérée, à raison d’une observation par année, par espèce et pour une localisation donnée). Ce tableau précise pour chaque espèce : le nombre d’observations, l’année de dernière observation, sa présence dans la flore de J. Vallot (symbole 📖) et son observation uniquement au pied d’un arbre (symbole 🌳).


Les commentaires seront limités à l’examen des cent espèces actuellement les plus fréquemment rencontrées. Soixante-trois sont citées par J. Vallot, soit qu’il les ait vues personnellement ou extraites des flores de Tournefort ou Germain & Cosson.


Les trente-sept non citées se répartissent en deux groupes.

Le premier, sans surprise, comprend des « invasives » particulièrement fréquentes aujourd’hui :

Alcea rosea L. (origine horticole, mais maintenant très répandu)

Buddleja davidii Franch.

Erigeron bonariensis L.

Erigeron karvinskianus DC.

Erigeron sumatrensis Retz.

Galinsoga quadriradiata Ruiz & Pav.

Galinsoga parviflora Cav.

Matricaria discoidea DC.

Potentilla indica (Andrews) Th.Wolf

Senecio inaequidens DC.


Alcea rosea
Alcea rosea


Buddleja davidii
Buddleja davidii


Erigeron bonariensis
Erigeron bonariensis


Erigeron karvinskianus
Erigeron karvinskianus


Erigeron sumatrensis
Erigeron sumatrensis


Galinsoga quadriradiata
Galinsoga quadriradiata


Galinsoga parviflora
Galinsoga parviflora


Matricaria discoidea
Matricaria discoidea


Potentilla indica
Potentilla indica


Senecio inaequidens
Senecio inaequidens

Il est intéressant de noter que certaines de ces plantes, parfaitement naturalisées, sont connues en France depuis longtemps. Les trois premiers Erigeron sont décrits dans les flores de Bonnier et Coste. Leur expansion dans Paris est donc plus récente. J. Vallot ne cite que Erigeron canadensis qui paradoxalement est aujourd’hui le moins fréquent. Erigeron karvinskianius, largement cultivé, s’est naturalisé et est maintenant très répandu et démontre un grand pouvoir de dissémination. Les Galinsoga parviflora et quadriradiata se sont surtout répandus à partir des années 1930. G. quadriradiata a largement supplanté G. parviflora pourtant introduit auparavant.  La culture de Buddleja davidii comme plante ornementale s’est répandue dès 1916.  Cette espèce pionnière s’est échappée et naturalisée et se rencontre sur les murs, dans les friches ,..  Senecio inaequidens, qui nous vient d’Afrique du Sud, est récent pour Paris mais témoigne d’une étonnante prolificité Bien d’autres plantes « invasives » ou « exotiques » peuvent maintenant être rencontrées dans Paris mais sortent des limites de cette étude.

 

Le deuxième groupe de plantes, non signalées par J. Vallot, est plus surprenant, car il concerne des taxons indigènes tout à fait communs et d’une grande banalité. Cette constatation peut s’expliquer principalement par l’habitat retenu par J.  Vallot car douze plantes pouvaient être trouvées à Paris à son époque, d’ailleurs lui-même en avait signalé certaines qu’il n’avait pas vues.

Arabidopsis thaliana (L.) Heynh.

Asplenium scolopendrium L.

Cardamine hirsuta L. 

Centranthus ruber (L.) DC. subsp. ruber 

Cerastium glomeratum Thuill.

Convolvulus sepium L.

Dryopteris filix-mas (L.) Schott

Echinochloa crus-galli (L.) P.Beauv.

Eragrostis minor Host

Lactuca muralis (L.) Gaertn.

Malva sylvestris L.

Portulaca oleracea L.

 

Les autres plantes se sont installées dans Paris plus tardivement. Ainsi semble-t-il dans la première moitié du vingtième siècle sont apparues :

Alnus glutinosa (L.) Gaertn. (localisé sur les perrés)

Asplenium trichomanes subsp. quadrivalens D.E.Mey.

Digitaria sanguinalis (L.) Scop.

Epilobium tetragonum L. subsp. tetragonum

Geranium robertianum L.

Geranium rotundifolium L.

Hypochaeris radicata L.

Picris hieracoides L. subsp. hieracoides

Sonchus arvensis L. subsp. arvensis

Vulpia myuros (L.) C.C.Gmel

 

Enfin les dernières installées :

Crepis bursifolia L., qui connaît une véritable explosion en quelques années

Hypericum perforatum L. subsp. perforatum

Laphangium luteo-album (L.) Tzelev, classé espèce en danger, mais en expansion dans Paris

Plantago coronopus L. subsp. coronopus, extrêmement fréquent

Polypogon viridis (Gouan) Breistr., en expansion dans Paris

Ces dernières arrivées font preuve d’une réelle prolicifité !


Crepis bursifolia
Crepis bursifolia


Hypericum perforatum
Hypericum perforatum



Laphangium luteoalbum
Laphangium luteoalbum




Plantago coronopus
Plantago coronopus



Polypogon viridis
Polypogon viridis


Les orchidées dans Paris

 

Quelques mots des orchidées. J. Vallot cite quatre orchidées dans l’ancien Paris. Orchis militaris L. et Dactylorhiza maculata (L.) Soò ont totalement disparu de Paris mais Cephalanthera damasonium (Mill.) Druce et Neottia ovata (L.) Bluff & Fingerh. se rencontrent toujours mais dans les Bois de Vincennes et Boulogne. A contrario, sur les pelouses dans Paris, Himantoglossum hircinum (L.) Sprang., Ophrys apifera Huds. et Anacampsis pyramidalis (L.) Rich. var. pyramidalis ne sont pas rares, Epipactis helleborine (L.) Crantz subsp. helleborine est moins fréquent.

 

Enfin pour terminer Chara vulgaris n’a pas été recherché.


Souvenir du confinement – Malva sylvestris, Paris, Avenue de Suffren, 7ᵉ (13/05/2020) 
Souvenir du confinement – Malva sylvestris, Paris, Avenue de Suffren, 7ᵉ (13/05/2020) 

Signalons qu’en cette même année 1884 a été publiée « La Flore de Paris » de J.‐L. de Lanessan qui, en réalité, couvre un territoire beaucoup plus vaste que Paris et décrit toutes les espèces y compris les bryophytes, les lichens et les champignons.

 

Enfin, pour terminer si vous voulez tout savoir sur la flore contemporaine de Paris, vous pouvez consulter le site images-flore-paris.net.


Annexe : article orginel avec tableaux




Brève bibliographie

 

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